Saint-GENS patron de Monteux 84 |
Chaque année, le week-end suivant le 16 mai, la Confrérie de Saint Gens organise un pèlerinage au Beaucet. Cette manifestation a gardé son caractère traditionnel et folklorique. Le samedi, des jeunes gens en costumes d'époque portent la statue de Saint Gens et la bannière jusqu’à l’ermitage. Dans la soirée du samedi et la matinée du dimanche, des cérémonies religieuses ont lieu. Le Christ,
porté également par des jeunes gens en tenues d’époque, part de Monteux
vers l’ermitage à 6 heures du matin. Quand ces cérémonies sont
terminées, le cortège des pèlerins,
formé de personnes à pied et de charrettes (appelées jardinières),
repart vers Monteux. À l’arrivée du saint, des bombes éclatent et les cloches sonnent. Une bénédiction a lieu dans la chapelle consacrée au saint et la fête se termine à l’église Notre Dame de Nazareth par une allocution en provençal.
Buste de Nicolas Saboly |
Le 16 avril 1633,
il obtient son premier bénéfice ecclésiastique en devenant chapelain de
Sainte-Marie-Madeleine en la cathédrale Saint-Siffrein de Carpentras3.
Un an plus tard, alors qu'il n'a pas fini ses études de droit civil et
canonique, il quitte l'Université sans avoir pris ses grades. Ce qui ne
l'empêche pas, le 27 septembre 1635, d'être ordonné sous-diacre, diacre et prêtre.
Mon arrière-grand-père, MORT POUR LA FRANCE. Le 15 septembre 1914.
Son épouse veuve 29 ans, avec 3 enfants dont l’ainée a 10 ans le second a 9 ans et le dernier est à 5 jours de ces 6 ans.
Les enfants deviennent pupilles de l’État, et l’épouse veuve de guerre, ils perçoivent de quoi subsister.
L’ État Français fin des années 1920 (1924/1928) cherche de la main d’œuvres qualifiée, pour la construction de l’édifice, avec des salaires très intéressant. Donc le couple part travailler sur la dite ligne, peut après c’ être marié.
Le couple aura une fille le 2 décembre 1925 à Nancy. Et restera durant toute la durée de la construction de l’édifice. A la déclaration de la guerre, mon oncle par alliance signe un contrat pour l’entretien et la remise en état de l’édifice qui aurait subi des dégâts.
Le second fils Henri rentre dans les « ponts et chaussées » et se marie à Audeux le 5 janvier 1929 dans la brigade ou il avait été muté. Avec Marie Camuset, fille unique d’agriculteur au pays née le 4 septembre 1901.
Marie laquelle à l'âge de 10 ans était au grenier avec une fourche dans la porte pour reprendre le foin que lui passait sa mère, pour le pousser à son père afin que ce dernier le rangea. Le temps était menaçant, il fallait se dépêcher avant l'orage. D'un seul coup ma Grand-Mère se trouva secoué, et abasourdi. Elle venait de prendre un coup de foudre, le manche de sa fourche cassée net en deux, le foin sec et en vrac, comme à l'époque.
Sous le coup de foudre le foin brûlait, la maman attrape sa fille, et la fait se mettre à l’abri chez des voisins qui accoururent pour aider mais tout les efforts furent vint, le feu était plus fort que les hommes arrivé en renfort, la maison et les dépendances brûlèrent, les papiers de la maison furent sauvés, du linge, et peu de choses.
En 1957 quand nous sommes revenu avec mes parents habiter une maison voisine, acheter à l'époque par mon Arrière-Grand-Père qui fut rallongé d'une maison d'habitation par mon Grand-Père, pour venir habiter près de ses beaux-parents.
Il a quatre enfants plus un enfant reconnu le jour du mariage. Après avoir la douleur de perdre deux enfants, dont celui reconnu le 5 janvier 1929. Son épouse, donc ma grand-mère décède à 35 ans le 26 octobre 1936 à l’hôpital de Besançon.
Et le 22 mars 1945 après avoir nettoyé l’accotement de la RN67, il brûle sur le talus les détritus ramassés. Une grenade de type Italienne se trouvant dedans le feu et explosa, mon grand-père se trouvant à proximité direct fut déchiqueté et le corps fut retrouvé peu de temps après par le maître d’école de Audeux.