Laissant
3 filles Orphelines pupilles de l’État, Âgés respectivement de 15 ans,
12 ans et 10 ans. Lesquelles furent prisent en charges par une cousine
de la descendance Alsacienne.
La plus âgée est devenue ma "Maman" Décédée le 1 décembre2010 à Pontarlier Doubs 25.
Le 8 septembre 1960, le troisième enfant, le fils Claude,
mon Frère, 3 ans tombe les deux mains en avant dans des résidus de
battage qui brulaient le long d'un buisson. Une minute d'inattention et
mon frère a les deux mains brûlées au troisième degré pour la vie.
Georgette Obéron, née à Audeux le 26 juin 1929 épouse le 17 septembre 1949 à Besançon; Noël PONS né le 25 décembre 1919 à Besançon.
- Geneviève Marie Louise. 1950 le 02 juillet
- Guy Henri André Charles. 1952 le 28 mars
- Alain Michel Alphonse. 1954 le 28 mai
- Claude Robert Jacky. 1957 le 11 mai
- Jacqueline Lucette Noëlle 1960 le 12 novembre
- Monique. 1971 le 02 juillet
Mon arrière-grand-père, MORT POUR LA FRANCE. Le 15 septembre 1914.
Son épouse veuve 29 ans, avec 3 enfants dont l’ainée a 10 ans le second a 9 ans et le dernier est à 4 jours de ces 6 ans.
Les enfants deviennent pupilles de l’État, et l’épouse veuve de guerre, ils perçoivent de quoi subsister.
Les enfants de Jules Stéphane Élisée Obéron et de Philippine Maria Floral Biérot
Suzanne née le 20 avril 1904 à Besançon Marié avec Roger Marius Ferriot.
Henri Lucien Charles né le 18 juin 1905 à Besançon Marié avec Maria Marguerite Camuset.
André Albert Jean né le 19 septembre 1908 à Besançon Célibataire décédé le 24 février 1931
Le terme « ligne Maginot » désigne parfois le système entier, mais souvent il désigne uniquement les défenses contre l'Allemagne (théâtre d'opérations du Nord-Est)
L’ État Français fin des années 1920 (1924/1928) cherche de la main d’œuvres qualifiée, pour la construction de l’édifice, avec des salaires très intéressant. Donc le couple part travailler sur la dite ligne, peut après s’être marié.
Le couple aura une fille le 2 décembre 1925 à Nancy. Et restera durant toute la durée de la construction de l’édifice. A la déclaration de la guerre, mon oncle par alliance signe un contrat pour l’entretien et la remise en état de l’édifice qui aurait subi des dégâts.
Le second fils Henri rentre dans les « ponts et chaussées » et se marie à Audeux le 5 janvier 1929 dans la brigade ou il avait été muté. Avec Marie Camuset, fille unique d’agriculteur au pays née le 4 septembre 1901.
Il a quatre enfants plus un enfant reconnu le jour du mariage. Après avoir la douleur de perdre deux enfants, dont celui reconnu le 5 janvier 1929. Son épouse, donc ma grand-mère décède à 35 ans le 26 octobre 1936 à l’hôpital de Besançon.
Et le 22 mars 1945 après avoir nettoyé l’accotement de la RN67, il brûle sur le talus les détritus ramassés. Une grenade de type Italienne se trouvant dedans le feu et explosa, mon grand-père se trouvant à proximité direct fut déchiqueté et le corps fut retrouvé peu de temps après par le maître d’école de Audeux.